Qui sont ces mercenaires financiers ?
Goldman Sachs (le commandant en chef)
JP Morgan
HSBC
Barclays
Les banques Centrales
La banque des règlements internationaux (Suisse)
Les Agences de Notation
Les Hedge funds, …
La liste est loin d’être exhaustive. Ils œuvrent pour le compte des grandes fortunes.
Goldman Sachs et ses amis contrôlent le gouvernement US, le département du trésor et le fonctionnement de la Réserve Fédérale (FED) américaine.
Lorsque GREENSPAN était gouverneur de la FED, sous la Présidence de CLINTON, de grosses erreurs bancaires avaient été commises, ce sont les fameux dérivés toxiques. Les banques américaines d’investissement ont vendu ces dérivés toxiques, aux banques de certains pays européens.
Les Hedge funds, les agences de notation et les banques de Wall Street collaborent ensemble pour déstabiliser la dette de ces pays en attaquant leurs banques.
Parce qu’ils savent que toutes ces banques ont dans leurs placards ces dérivés toxiques, qu’elles ont des milliards de dollar de dettes non garanties dans leurs bilans et que leurs valeurs comptables sont en dessous de zéro. Elles sont donc insolvables et ne peuvent pas rembourser.
Plus de 50% de l’économie américaine provient des banques d’investissement et des échanges de Wall Street. Pour continuer à gagner de l’argent, ils doivent trouver de nouvelles affaires, de nouveaux revenus. Changer la note de la dette AAA d’un pays en une note plus mauvaise leur permet de gagner des milliards de dollar en commissions.
Les banquiers mercenaires apprécient les états dont la note de la dette est dégradée, car les marges sont plus élevées. En dégradant la note, ils créent de la volatilité. Avec la volatilité, le volume de dérivés explose. Ce qui rend les spéculateurs de Wall Street et de la City de Londres très riches.
Ils vont donc continuer, avec la volatilité des stocks à dégrader la note des banques, des états et exploiter le système, pour en tirer le maximum de profit, à savoir devenir immensément riche sans rien branler.
Les spéculateurs veulent des taux à 0% et les bons du trésor au plus bas niveau.
Or en dégradant les banques, les spéculateurs extorquent de l’argent aux gouvernements.
Prenons le cas de l’Espagne. Le plan de renflouement de 100 milliards d’euros, mis en place par la Commission Européenne et la BCE, va d’abord au gouvernement puis retourne aux banques espagnoles de la part du gouvernement, pour acheter des bons du trésor espagnols. Parce que, les seuls acheteurs des bons du trésor espagnols sont les banques espagnoles.
Ainsi, les investisseurs privés ne sont pas inquiétés, ce sont les contribuables qui paient la facture. Une facture qui sert à renflouer les détenteurs de bons de trésor, donc des banques.
Cette nouvelle ère, utilisant les dérivés financiers dont l’objectif est de préserver les taux spéculatifs consentis aux banquiers de Wall Street par la FED à 0% et 1% aux banquiers de la City de Londres par la BCE.
L’actuel directeur de la FED, Ben BernanKe, vient de déclarer que ce taux sera maintenu jusqu’en 2014, voire même définitif.
Ces taux ne profitent ni aux ménages, ni aux entreprises, ni aux gouvernements. Ils profitent à l’élite mondiale, aux grosses fortunes qui vont pouvoir se payer tous les actifs des pays en difficultés, l’Irlande, la Grèce, le Portugal, l’Italie, l’Espagne et bientôt la France pour une bouchée de pain.
Peut-être que nous nous réveillerons quand la tour Eiffel sera vendu au Qatar, mille fois en dessous de sa valeur.
La crise des dettes souveraines, est bien une arnaque orchestrée par les mercenaires financiers pour s'enrichir rapidement, piller les états, détruire l'économie et maintenir les populations dans la pauvreté.
Nous comprenons maintenant pourquoi depuis 2008, aucune solution véritable ne permet de mettre fin à cette crise, que toutes les propositions ne visent qu’à ajouter de la dette à la dette et obliger les états à céder une part de leur souveraineté à travers des traités.
Léa GUEZO
http://www.dailymotion.com/video/xgmpkw_max-keiser-debat-sur-goldman-sachs-1-2_news
http://www.dailymotion.com/video/xgmpyt_max-keiser-debat-sur-goldman-sachs-2-2_news
http://www.dailymotion.com/video/xgmpyt_max-keiser-debat-sur-goldman-sachs-2-2_news
La dette des états, que ce soit les Etats-Unis ou l’Europe nécessite une dévaluation monétaire du fait de leur surendettement.
Les américains l’ont compris, c’est pourquoi, depuis la crise financière de 2008, la politique de la Fed a été d’injecter massivement des capitaux dans l’économie américaine, tout en maintenant
un taux d'intérêt proche de zéro.
Et si l’économie américaine est convalescente, c’est que cette injection massive de liquidités dans le système n’a profité ni aux entreprises ni aux ménages puisque l’argent est resté dans les
banques.
L’incertitude monétaire et le risque systémique ne font qu’aggraver le climat de confiance entre les entrepreneurs, les investisseurs et les banquiers de telle sorte que, les banques ne prêtent
qu’à ceux qui ont de l’argent.
Contrairement à la FED, les banques centrales européennes n’ont plus le droit d’émettre de la monnaie ni de prêter aux états membres.
Or, les banques Centrales ont besoin de dévaluer les monnaies pour monétiser les dettes afin d'éviter la faillite des banques centrales.
Les décisions des Banques centrales, dans ces périodes de crises financières, sont d’une importance cruciale.
Souvenez-vous, en 1929, la Réserve fédérale américaine, contrairement à sa position actuelle, avait choisi de restreindre le crédit, conséquence, le krach s’était transformé en crise économique
majeure.
Comme dit Mike Shedlock / Mish (conseiller pour Sitka Pacifique Capital) :
« Nous traversons actuellement, une récession atypique, ressemblant plutôt à une crise structurelle d’inflation de la dette, un phénomène rare n’apparaissant qu’une fois en plusieurs générations.
»
La crise s’éternise dans un climat de complexité et de volatilités croissantes.
La situation dans laquelle se trouvent les banques Européennes s’aggrave de jour en jour.
Pourtant la BCE prend des décisions qui ne font qu’entraîner des cycles de déflation de la dette la rendant ainsi, impossible à rembourser.
Comme la BCE, les gouvernements gagnent du temps en repoussant le problème à plus tard et en empruntant des quantités considérables de monnaie.
Aujourd’hui, non seulement, ils sont à court de monnaie, ils ne disposent plus d’une capacité aisée pour emprunter, du fait de leur surendettement.
Nous nous dirigeons fatalement vers une insolvabilité des gouvernements.
La Grèce fait défaut. L’Espagne et le Portugal finiront par en faire de même.
Les systèmes bancaires sont en faillite un peu partout dans le monde, même les économies des pays émergents (BRICS) s’affaiblissent.
Nous assistons à un effondrement des marchés d’obligations d’Etat et des actions partout dans le monde.
En Grèce, en Italie, en Espagne, voire même en France, les déposants retirent leur cash des grandes banques. Sans parler de la fuite des capitaux vers l’Allemagne, la Suisse, la Grande-Bretagne
et principalement les Etats –Unis, il en résulte une forte hausse du Dollar US.
Nous avons montré dans un précédant article comment l'EURO sert de variable d'ajustement à la politique monétaire de la FED. En jouant sur les dettes européennes et sur les taux d'injection de
liquidités à très faible taux. Ce qui contribue à faire baisser l'Euro par rapport au Dollar de façon à restituer un Dollar plus cher.
Par un mécanisme subtil, relaté en cinq actes par Jean-Luc PUJO, dans son article (paru dans Politique Actu.com) intitulé « Comment les ménages européens renflouent la dette américaine ... en
2012 !» :
ACTE I – La Banque centrale américaine (FED) rachète de la dette américaine à la CHINE.
ACTE II – La BANQUE centrale américaine revend ses Dollars à la Banque centrale européenne (Dollars pourris contre EURO fort) ;
ACTE III – La Banque centrale européenne assure des prêts aux banques privées européennes ;
ACTE IV – Les banques privées européennes prêtent aux Etats Européens à des taux importants ;
ACTE V – Les Etats Européens infligent des plans de rigueur aux peuples européens pour rembourser les Banques, la BCE et au final en réalité … la FED Américaine.
En jouant au pompier pyromane, la Fed, tente de s’emparer de plus de pouvoir afin de contrôler et de manipuler à son avantage, la monnaie, qui, il y a quelques mois encore, s’emblait lui
échapper.
Léa GUEZO
L'impasse politique en Grèce suscite des craintes dans la zone euro.
Les valeurs européennes ont chuté ce mardi, entrainant les autres marchés boursiers américains et canadiens.
Les valeurs grecques ont atteint leur plus bas niveau depuis fin Novembre 1992.
Les dirigeants politiques se sont réunis pour une deuxième journée dans l'effort de former un nouveau gouvernement avec les gagnants des élections du week-end sans pouvoir parvenir à un consensus.
Alexis Tsipras, chef de la coalition, à la tête du parti de la gauche radicale anti-austérité, Syriza, a promis de renégocier les conditions de sauvetage du pays.
A 37 ans, il a surpris les observateurs en finissant à la deuxième place, en obtenant 16,78% des suffrages, soit 52 sièges au parlement, derrière la Nouvelle-Démocratie, arrivée en tête du scrutin, le parti de droite dont Antonis Samaras est le leader, qui a obtenu 18,85% des voix, soit 108 sièges au parlement aux élections législatives de dimanche.
Alexis Tsipras a exclu lundi, à l'issue d'un entretien avec Antonis Samaras, toute participation à un gouvernement de coalition avec les conservateurs de la Nouvelle Démocratie.
Il a déclaré, lors du scrutin de dimanche, qu' il "ne peut pas y avoir un gouvernement de salut national avec la droite qui a signé des mesures de rigueur (...) que le peuple a rejetées".
Trois des cinq partis, sont issus de la gauche :
- Syriza (gauche radicale),
- Dimar (gauche démocratique),
- les communistes du KKE .
Les deux autres sont de droite, dont la formation néo-nazie Chryssi Avghi.
Toutes deux, détiennent la majorité au parlement soit 151 sièges.
Face à la difficulté des politiques grecs à former un gouvernement de coalition, certains observateurs n' exclues plus la tenue de nouvelles élections anticipées.
Le risque réside dans la probabilité élevée, d'un défaut de la Grèce sur l'une de ses prochaines échéances, et aussi sur une possible sortie de la Grèce de la zone euro.
Léa GUEZO
Depuis plusieurs semaines, déjà, Marc Fiorentino, ancien trader et actuel patron de Monfinancier.com avait créé une belle panique en assénant que la France allait faire l'objet d'attaques en règle de la part de la finance internationale si François Hollande est élu président de la République. Il disait exactement, "Le 7 Mai la France sera attaquée. Et mise à genoux" par un nouvel instrument financier permettant de spéculer contre la dette française.
Philippe Murer, professeur à la Sorbonne, l'avait qualifié dès le 26 mars dernier "d'outil de spéculation de masse contre l'Etat" dans son excellente tribune titrée plus que mollement par Marianne "Une autre crise de la dette à venir". A croire que tous les journalistes et la direction de marianne n'aient alors encore rien compris à ce qu'avait décrit très précisément Philippe Murer. Comment cacher une information stratégique dans le flux de l'information ... En fait, l'affaire n'a été véritablement lancée que par un article de blog sur Médiapart intitulé "Nicolas Sarkozy et l'AMF préparent un attentat financier pour le 16 avril."
Ce nouvel instrument financier baptisé "FOAT" ou "EURO OAT" a été mis en place le 16 avril 2012 par EUREX, la bourse allemande dont le capital est détenu en partie par la Deutche Borse. Il est intéressant de savoir que la Commission Européeene a dernièrement bloquè la fusion entre ce même Deutche Borse et le NYSE (New York Stock Exchange). Et oui, cette fusion crérait un quasi monopole pour les transactions en bourse, à l'échelon international, sur les produits financiers dérivés européens.
Revenons à notre contrat sur la dette française. Il permet d’acheter ou de vendre des Obligations Assimilables au Trésor (OAT) de la France à un prix fixé à l’avance pour un règlement effectif à une date ultérieure. Ces contrats financiers corrélés à la dette française étant côtés, leur valeur fluctue en fonction de l'offre et de la demande. Les investisseurs peuvent donc spéculer sur la dette française à la baisse car il est possible de vendre les contrats avant même de les acheter.
Attendez, ce n'est pas terminé, les achats de ces fameuses OAT passent par Cleartstream Banking Luxembourg. Il est possible de les acheter via Eurex Zurick, Eurex Deutschand et Eureux Clearing (Franckfurt) qui ont en commun ... le même Président du Conseil de Surveillance Peter Gomez ... également le président de la SWX Swiss Exchange, la bourse suisse. C'est beau l'Europe ...
Certains candidats à la présidence avaient dénoncé ainsi que le mouvement des INDIGNES.
Le candidat du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon, a été le premier à condamner par communiqué de presse, le 11 Avril 2012, le nouvel instrument financier qui va selon lui « offrir des moyens
considérables aux spéculateurs pour attaquer notre pays". Une aubaine pour les « banksters » qui ont déjà déclenché la crise de 2008, pour faire de l'argent sur le dos du peuple français. Cela
avait été alors "Le vendredi 13 pour la
finance".
Or, à l'heure où nous vous parlons, l’OAT proposée le 16 avril par le marché Allemand pour spéculer sur la dette de la France progresse, ce qui est très inquiétant. Les agences de notation qui viennent de dégrader la note de l'Espagne et celle de neuf de ses banques dont SANTANDER, pourraient prochainement parler des banques françaises. L'Espagne est dans le rouge, les taux italiens s'envolent, .. L'Italie, le 1er pays de la zone euro à avoir accepter dès 2009, les OAT/EUREX.
A la vitesse des dégradations émises par les agences de notation, les changements en cours dans le système monétaire mondiale et la guerre des devises que se livrent les principaux blocs économiques, la course à l’or peut commencer.
A l'heure où les médias mettent en scène les deux candidats du cartel des banques, pro-Nouvel Ordre Mondial et partisans du démantèlement de la nation, au profit d’une Europe fédérale.
Partout en Europe, sous prétexte d'affronter la crise et la récession, les dirigeants européens s'en prennent au droit du travail. En tête, les deux gendarmes de Goldman Sachs, les Mario (DRAGHI) and Mario (MONTI).
Mais le candidat du parti socialiste, Monsieur François Hollande qui veut renégocier le traité européen pour y introduire un pacte de croissance, commence à rencontrer un écho favorable.
Le peuple doit se tenir informé de ce qu'il se passe, nous nous engageons à faire hebdomadairement le point sur cet énorme dossier qu'est celui des FOAT/EUREX, l'Europe du MES se met en place.
Ne lâchez rien
The show must go on.
Léa Guézo et Stéphanie Marthely
La faillite de Lehman Brothers a eu des répercussions gravissimes sur l'économie mondiale, provoquant autour d'elles chômage de masse, ruines et désolation. Il a été donc décidé au niveau mondial de sauver le système bancaire, ainsi le contribuable, dans les faits, a renfloué les banques.
Si Lehman Brothers n'a pas bénéficié d'un plan de sauvetage, c'est parce qu'il fallait faire un exemple : dans une société composée d'individus responsables, les canards boiteux sont sanctionnés
et aussitôt remplacés par d'autres entreprises, plus éthiques. L'ennui, c'est qu'il n'en a rien été, pour les raisons les plus diverses, que nous n'avons pas le temps d'évoquer ici.
Prenons le cas qui nous intéresse : la crise grecque. Certes, les hommes politiques de droite comme de gauche ont commis des impairs, ont menti sur leurs chiffres... seulement les bénéficiaires
de ce plan de sauvetage grec décidé au niveau européen, sont ces mêmes banques qui ont failli nous conduire dans le fin fond du précipice ! Ainsi, les contribuables ont renfloué des banques qui
ont commis des erreurs monumentales et joué à l'économie casino. On pouvait donc s'attendre à ce que de telles pratiques cessent. Il n'en est rien puisque les banques, à nouveau, renouent avec
des profits records et distribuent à leurs traders des bonus mirobolants.
On entend même certains dirigeants dire qu'ils n'ont plus de comptes à rendre, car la crise est terminée !
Mieux : après la Grèce, les agences de notation ont dégradé la note du Portugal et de l'Espagne malgré l'alternance et de nombreuses coupes sociales. Ces mêmes agences de notation qui
rappelons-le, ont été complices des agissements douteux de certains établissements bancaires, sans parler de l'affaire Madoff et qui auraient ainsi
le droit de vie ou de mort sur tel ou tel pays et de donner des leçons de morale à la terre entière !
Le FMI lui-même ne se le cache pas : il faut que les grecs accomplissent de nouvelles réformes, bien plus sévères que celles qui ont été faites par le gouvernement grec... tout comme les portugais et les espagnols, alors que ces mêmes réformes entraînent, semble-il, plus d'effets négatifs sur la croissance économique et l'emploi pour ces pays que si elles n'avaient pas été réalisées.
Rappelons que lors de la grave crise asiatique de 1997, la Malaisie avait refusé de suivre les recommandations du FMI et a imposé des normes à ses banques. Comme par hasard, ce pays s'est
redressé plus vite économiquement que bien des pays asiatiques ! Le FMI est-il, en fin de compte, un pompier ou un pyromane ?
Le risque majeur, c'est que cette crise entraîne en Europe des répercussions sociales gravissimes et par-la même la chute de l'euro, car on voit très mal, après le sauvetage de l'Irlande et de la
Grèce, comment on pourrait sauver bien d'autres pays européens. L'euro imploserait alors de lui-même, et entraînerait le retour ou non de monnaies nationales dans certains pays européens, comme
cela était le cas avant l'euro.
Nous n'en sommes pas encore là... mais le système actuel, reposant sur une sorte de libre échangisme naïf totalement débridé, est condamné. Certes, nos élites politiques qui ont permis à tous ces
spéculateurs, ces financiers, d'avoir l'importance qu'ils ont aujourd'hui, ne peuvent résoudre le problème : ils sont une partie du problème. Il nous faut tout reconstruire, tout repenser, en vue
de protéger nos emplois, nos entreprises, mais aussi les consommateurs... Nous avons perdus 500 000 emplois industriels depuis 2002, et 2 millions depuis 1980. C'est notre propre survie qui est
en jeu !
Nous pouvons très bien, au niveau français, sortir des marchés financiers et mener une politique visant à protéger nos intérêts nationaux et agir au niveau européen pour que ce soit aussi le cas
envers tout ce qui n'est pas européen. Ainsi, nous protégerons notre propre mode de vie, notre culture, nos produits, nos valeurs... et nous empêcherons du même coup divers fonds de pension
américains, chinois et indiens de racheter en masse nos entreprises, puisque nous disposerions d'outils en vue de les contrer.
C'est sans doute la solution la plus préférable, et la plus salutaire pour nous tous, français comme grecs, portugais, espagnols, européens.
NICOLAS L.
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